Cependant, outre deux jours intenses de voiture, tempête, de sommeil réduit, un élément a été signalé plusieurs fois : aucune connexion internet et très peu de réseau 3 G .
Dans ces moments-là, on se rend compte que nous sommes habitués à consulter notre téléphone ou tablette pour tout et n’importe quoi. La météo, la localisation d’un restaurant, le bon trajet bref tout est prétexte à naviguer.
On peut se demander s’il s’agit d’une dépendance ou tout simplement de l’air du temps.
Le terme cyberdépendance existe et en fouinant sur la Toile , j’ai fait un relevé des critères pouvant signifiés qu’il est tant de réagir :
Ø ne plus se laver
Ø ne plus dormir, car l’envie de se connecter est plus forte
Ø ne plus vouloir sortir, faire des activités notamment physiques
Ø diminution des interactions sociales
Après les symptômes psychologiques, les symptômes physiques :
Ø yeux secs
Ø doigts et mains abimées
Ø agitation des doigts…
Le traitement sera le même que pour une dépendance à l’alcool, au tabac… antidépresseur, thérapie comportementale.
Ne pas consulter Facebook, ne pas tweeter, ne pas lire les nouvelles, quel bonheur! Le lundi matin au bureau, les phrases : « tu as vu l’accident samedi, c’est vraiment horrible ce qui se passe à Homs »fusent ou sur notre tweetdeck deux jours à défiler pour lire les dernières nouvelles de nos abonnements. Une fois de temps à autre cela fait du bien au corps et au moral, c’est ainsi que deux jours de fin de semaine nous font penser à une semaine complète de vacances.
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