L’été est déjà un beau souvenir pour pas mal d’entre nous.
Le 24 août dernier a marqué d’une croix le retour à la réalité des enfants et
du fait même de la majorité des adultes.
Le avant a aussi été rythmé par l’achat des fournitures
scolaires, des nouveaux vêtements pour être « à la mode » (aka avoir
des vêtements neufs qui n’en ont pas l’air), du choix des activités extrascolaires
histoire de se dégourdir un peu le cerveau. En gros, cela donne 2 ou 3 semaines
de vacances plus ou moins relaxantes et après retour à l’horaire.
Même chose que l’on ait des enfants en âges, tout est basé
sur la rentrée. Le mois de septembre ne vit que par ce mot.
À peine le mois de septembre commencé, on parle déjà
d’Halloween, les boutiques éphémères sont fleurissantes, Halloween mania et
autres de ce monde, mais aussi de Noël 4 mois à l’avance.
Avez-vous eu la même impression que moi, tout est régi en
fonction des fêtes traditionnelles ou commerciales? Les préparatifs sont de
plus en plus tôt et l’incitation à la consommation de plus en plus grande.
Je trouve souvent que l’organisation d’une fin de semaine
peut être un casse-tête selon l’emploi du temps de chacun et que les divers
détails à prévoir me font mal à la tête J
alors, prévoir ce que mon fils mettra comme costume ou ce qu’il aura comme
cadeau et comment sera décoré mon sapin, tout simplement non, très peu pour
moi.
Mon questionnement est plus profond. Est-ce que les grandes
bannières commerciales nous incitent à la consommation pour un plus grand
bénéfice commercial, pour combler une baisse de revenus ou pour aider les
familles à étaler leurs dépenses et offrir toujours plus à leur entourage.
Je ne me cache pas. Si je vois quelque chose qui pourrait
convenir à l’un de mes proches, je peux facilement craquer, mais une erreur que
je ne fais plus depuis longtemps c’est d’oublier ce cadeau dans le fond d’un
placard et ne plus me souvenir de sa présence.
Et vous, vous procédez comment?
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